Les-mots-de-kryztof

Une larme se forme sous mon oeil
Je sens ta deception et ton orgueil
De ne pouvoir t'appartenir
avec la promesse de l'avenir

Je ne serai jamais comme les autres
Car oui, je suis différent
Sache que je t'aime vraiment
meme si je sais que je suis des autres

Et je suis encore plus désolé
de ne pouvoir etre dréssé
Comme un oiseau indépendant
je ne te serai jamais dépendant

Rennaissance de ce monde qui innonde
Mes pensées, retirées, étriquées
Reste encore le tonnerre qui gronde
Malgrès son envie de rester, m'emmerder
sur mon propre territoire, oui ! Je gronde
Je m'en vais sans penser à cette idée

Revivre, ivre, dans un livre?
Pourquoi pas, je défi mes lois
en ne fesant que vivre
Je dévit de mon but, de roi
faite qu'un jour, je me delivre
de ce jeu auquel je ne suis qu'à toi

Refaire mes affaires dans les airs?
Lent très lent, tu attend mes tourments
Je veut être comme le cerf
avec ses dents crier va-t'en
Mais je ne suis qu'une prière
qui comme le reste finit dans le vent...

Ma voix résonne sur l'ivoire du piano
Ma tristesse se fond dans le décor
L'écho de mon cœur est parano
A raison ou est ce a tord?

Mon physique se terni des blessures
Que la vie me projette dans l’âme
Et c'est sans demi mesure
Qu'elle me blâme

Mon cœur a froid de ces mots
Trop entendu et a peine effacé
Dans les larmes coulant a flot
Dans mon imagination si glacé

Mon âme n'avance plus
Est ce mon méa culpa?
Je ne le pense plus
Avec tous ces coup bas